Sechseläuten | 11. 14.04.08
Le «Sechseläuten» à Zurich est un point culminant pour les confréries zurichoises et leurs milliers de confrères. Il y a le défilé dans des costumes traditionnels magnifiques, des dizaines de groupes de chevaliers et environ 30 corps de musique vêtus duniformes élégants et aux instruments étincelants, de nombreux chariots sont tirés par des chevaux qui vont de la Bahnhofstrasse et du Limmatquai à la place de «Sechseläuten» où le «Böögg» est brûlé. La « procession des confréries » est un des grands évènements de la ville de Zürich qui attire des milliers de visiteurs ainsi que des centaines de milliers de téléspectateurs.
Trois coutumes ont fusionné dans la forme moderne du «Sechseläuten»:
La fête des confréries Depuis des siècles déjà, la fête du printemps des confréries de Zurich sappelle «Sechseläuten». A partir du début du printemps, quand la journée est aussi longue que la nuit autour du 20 mars la veille de la fête, la cloche du «Grossmünster» annonçait la fin du travail à six heures du soir. Les mois dhiver le peuple ne travaillait que jusquà cinq heures du soir car le soleil se couche plus tôt. Le changement de la moitié de lannée grise à la période claire de lété, était un événement attendu avec impatience et il était célébré par les confrères avec des banquets, des boissons, des conférences et des visites mutuelles dans leurs salles de confrérie.
Les processions Les deux processions, la procession des enfants (dimanche) et la procession des confrères jusquau feu (lundi) ont été développées vers le milieu du 19ième siècle. Leur forme présente sest manifestée au cours du dernier siècle. Avec la troisième coutume, le brûlage du «Böögg». Ce sont les parties vives, gaies de la fête quon peut voir et vivre publiquement.
«Böögg» «Böögg», est le nom du bonhomme blanc en paille qui est brûlé en public comme symbole de la chasse de lhiver. Cette coutume païenne de printemps qui était très répandue, a été perpétuées par des associations de garçons pendant des siècles, depuis la réformation. A partir de 1892 elle fût menée par le ZZZ (Zentralkomitee der Zünfte Zürichs = Comité central des confréries de Zurich)
Source: www.sechselaeuten.ch
|